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VOS CHEVEUX, les Messagers de votre santé
L’angoisse de voir sa chevelure diminuer au fil des années, et ces photos qui nous trahissent ?
Ce n’est plus supportable !
Avant de devoir recourir un jour à la greffe de cheveux, quelles solutions existent pour retarder la chute, favoriser la pousse et conserver des cheveux sains ?
Bien comprendre le cycle du cheveu pour mieux agir.
Chaque cheveu est produit par un follicule pileux situé dans le derme du cuir chevelu.
Comme une feuille nait des racines d’une plante, le cheveu connait trois phases, de la naissance (croissance d’environ 0,3mm par jour), à la période de repos (le follicule pileux se rétracte), jusqu’à sa chute.
Le follicule pileux (la racine) reproduit aussitôt un nouveau cheveu, et ainsi de suite, durant environ une vingtaine de cycles, sur une période de 5 ans environ. Il perd alors toutes ses fonctions reproductrices.
Bien heureusement d’autres follicules prennent le relais. De récentes études ont montré qu’il existe des « follicules dormants », qui peuvent mettre entre une à cinq années avant de se développer. C’est un peu comme lorsque l’on défriche une forêt, les jeunes plants qui ne parvenaient pas à prendre de l’ampleur tant que les anciens arbres ne sont pas élagués, prennent leur essor dès qu’on leur en laisse la place.
Dans l’absolu avec les années, même passé 50 ans chez les hommes, le capital cheveu devrait rester identique la vie entière, mais il peut être compromis par des conséquences d’ordre héréditaires ou autres.
La perte de cheveux, reflet de votre Santé
Les causes les plus fréquentes de la chute dite « réactionnelle » sont :
- Changement de saisons,
- Stress, inquiétude, surmenage, choc psychologique ou physique (accident, deuil…)
- Régime amaigrissant strict et carencé, pollution et tabac,
• Brusque dérèglement hormonal (grossesse ou allaitement, pilule contraceptive mal dosée, ménopause ou pré-ménopause) - Pellicules, excès de sébum
Toutes ces alertes qui doivent vous inciter à consulter un médecin. Dans la plupart des cas, une fois la cause identifiée et traitée, les cheveux repoussent.
Dans d’autres cas, notamment chez 70% des hommes, et quelquefois chez les femmes, un taux de DHT (dihydrotestostérone ou androstanolone) élevé est un facteur de chute de cheveux quand ces personnes sont prédisposées génétiquement à la calvitie (alopécie androgénétique). Alors, au fil des années, la masse capillaire s’affaiblit.
Chez les hommes, on voit le front et les tempes se dégarnir, voire la zone de la tonsure. Chez les femmes, c’est l’ensemble de la chevelure qui devient clairsemée, et la ligne médiane s’élargit.
Il existe des substances capables d’inhiber ce processus, en bloquant l’enzyme « 5-alpha réductase », ce qui freine la transformation de la testostérone en DHT, et permet de diminuer la progression de la calvitie. Mais les traitements tels que le Finastéride ou Propecia, ont des effets secondaires indésirables.
Mettre toutes les chances de son côté, c’est d’abord prendre soin de son cuir chevelu.
Le cheveu n’est que la partie visible de l’iceberg. Il faut bien sûr s’intéresser aux follicules pileux qui les produisent, mais surtout au « terreau » dans lequel ces follicules survivent et s’épanouissent, à savoir le cuir chevelu
L’excès de sébum peut bloquer la croissance du cheveu. Un follicule pileux mal irrigué par la vascularité tissulaire, risque d’engendrer une chute progressive. Elle peut commencer très jeune, notamment s’il y a déjà des cas de calvitie dans la famille.
Aussi, il faut savoir ANTICIPER dès le plus jeune âge de sa vie d’adulte. L’objectif est double :
- Ralentir la chute et faire durer le plus longtemps possible son cycle de croissance,
- Stimuler la pousse de cheveux plus robustes.
Une meilleure irrigation du cuir chevelu pour renforcer le tonus.
Les premiers gestes simples consistent à bien brosser le cuir chevelu pour le débarrasser de ses impuretés et de le masser régulièrement pour l’assouplir, voire à faire des drainages lymphatiques. En effet, l’obturation des vaisseaux lymphatiques peut entrainer une stagnation de la circulation sanguine.
Mais pour rester productif le plus longtemps possible, le follicule pileux a aussi besoin de nutriments. Le cuir chevelu est richement vascularisé, c’est à dire largement irrigué par des vaisseaux sanguins. Plus la circulation ne sera fluide, meilleur sera l’apport en nutriments, ce qui favorisera la régénération des follicules pileux.
Et la nourriture dans tout ça ?
Pour se régénérer, le follicule pileux a aussi besoin d’une grande quantité de vitamines, minéraux, acides aminés, acides gras… Des nutriments essentiels que le sang doit lui apporter. D’où la nécessité d’une alimentation équilibrée.
Quels aliments pour favoriser un cuir chevelu sain et de beaux cheveux ?
Saumon : protéines, Omega-3, B12, Fer // Légumes verts (épinards, brocolis) : Vitamines A et C, Calcium et Fer
Lentilles et haricots : Protéine, Fer, Zinc, Biotine // Fruits secs et noix : Zinc, Sélénium, Omégas 3
Volaille : Protéines et Fer // Œufs : Protéines, Biotine, Vitamine B12 // Huitres : Zinc // Carottes : Vitamine A
Et si une vie trépidante vous empêche de varier votre alimentation, alors, pour combler les carences nutritives, la prise de compléments alimentaires peut y remédier.
D’OU L’IMPORTANCE DE L’APPORT COMPLEMENTAIRE EN MICRONUTRIMENTS POUR ENTRETENIR VOTRE CAPITAL CHEVEUX
Notre recommandation >>
ILEA®-Compléments alimentaires MORENGA OLEIFERA
- Favorise la pousse des cheveux
- Une meilleure santé et résistance du cuir chevelu
- Réduit le stress oxydatif source de la perte de cheveux
- Favorise la régénération des cellules et répare le tissu cellulaire
Principes actifs :
Moringa Oléiféra , riche en vitamine E, réduit le stress oxydatif source de la perte de cheveux, favorise aussi la régénération des cellules et répare le tissu cellulaire.
Les feuilles de Moringa Oléifera contiennent la majorité des minéraux et vitamines dont notre organisme a besoin, et en quantités élevée.
A poids égal, ce super-aliment contient autant de protéines que dans un steak de bœuf, 4 fois plus de calcium que dans le lait de vache, 9 fois plus de vitamine C que dans le kiwi, 4 fois plus de vitamine A que dans la carotte et autant de magnésium que dans le chocolat noir ! Bien que les quantités de moringa consommées soient bien moins importantes que celles de tous les aliments cités ci-dessus, deux gélules par jour suffisent à palier de nombreuses carences.
Le moringa possède aussi une très forte action antioxydante en piégeant les radicaux libres et luttant ainsi contre l’oxydation des cellules et leur vieillissement.
La chlorophylle qu’il contient a une action purifiante en favorisant la détoxification des cellules de l’organisme, efficace contre la prolifération bactérienne.
MODE D’EMPLOI :
Une gélule de Moringa Oléiféra de la gamme Iléa® matin et soir avec un grand verre d’eau. Consultez votre Docteur avant utilisation si vous êtes sous traitement ou enceinte.
